Caïus // Apprenti de Caim

Information sociale:

Prénom et nom: Caïus
Surnom: Caesar (prononcer César)
Age: 22 ans (p'tit jeune)
Sexe: Masculin
Race: Démon
Clan: Il n'y a ni bien ni mal, il n'y a que le pouvoir... et ceux qui sont trop faibles pour le rechercher. Mais pour vous, selon votre vision du monde, je suis le mal incarné
Fonction: Apprenti de Caim


Information physique:

Physique: Caïus a une apparence visiblement humaine, mais il s'agit en fait d'un particularité raciale. Allez savoir pourquoi les démons ressemblent aux humains! Il est plutôt grand avec ses 6 pieds de haut. Sa musculature développée est souvent cachée sous sa cape rouge. Pourquoi tout dévoiller ainsi à l'ennemi? Il a de longs cheveux d'un noir insondable qui lui tombent dans le haut du dos, mais le plus souvent ils "planent" autour de lui, porté par le vent. Il retient ses cheveux par un bandeau rouge foncé sur son front. Il est terriblement désagréable d'avoir des cheveux dans le visage. Ses yeux, plus rouges que rouge brillent d'un lueur étrange, déterminée, sanguinaire, si l'on peut dire. Son nez droit et long ne fait que confirmer ce trait facial accentué déjà par ses épais sourcils à moitié dissimulés sous son bandeau.
Pouvoirs:
Manipulation des sentiments (pouvoir racial)
(J'ai droit à combien? XD)
Armes: Deux longues et lourdes épées, en raison de sa grand force (décrites dans l'histoire)


Information Psychologique:

Caractère: Caius a une vision de la vie des plus manichéennes : avec lui, pas de demi-mesures, et les jugements de Caius sont célèbres en la matière. Francs, directs, honnêtes, courageux, ne manquant pas de magnétisme. Il sait prendre des initiatives avec audace et promptitude, et la difficulté le stimule. Animé par un esprit de conquête, il n'en demeure pas moins réaliste et pragmatique. Toutefois, il est relativement méfiant et a besoin de preuves tangibles avant de faire confiance. Il a une haute idée de la moralité, de la loyauté et possède certains principes parfois quelque peu rigides. Actif, il a besoin d’action pour s'affirmer et s'équilibrer. Lorsqu'il est motivé, il ne connait plus ses limites et se montre acharné au travail. En fait, deux tendances contradictoires coexistent au sein de sa personnalité : une partie qui porte à la réflexion, la pondération, la concentration, l'isolement, le sens du devoir et du travail, et qui vise à acquérir une certaine sagesse, et l’autre, plus concrète et plus dynamique, qui porte à l'action, aux emballements, et met l'accent sur le côté physique...

Lorsque ces deux tendances s'harmonisent, nous sommes en présence d'un être complet, mais ô combien exigeant ou intransigeant, qui se pose souvent en exemple pour les autres. Il a volontiers l'esprit de contradiction et pardonne difficilement. Le meilleur moyen de le stimuler est le sport, notamment les arts martiaux, qui allient merveilleusement le mental au physique.

Le futur, ses rêves, ce qui le stimule. Il recherche le pouvoir, car avoir le pouvoir signifie être fort. Il ne croit ni au bien, ni au mal, comme l’indiquer clairement sa citation favorite, soit : «Il n’y a ni bien ni mal. Il n’y a que le pouvoir… Et ceux qui sont trop faibles pour le rechercher…» Ces quelques mots le motivent et guident ses pas vers le futur, vers le pouvoir absolu, le but ultime à atteindre selon lui. Il est plutôt discret quand il n’est pas en train de se battre, mais il sait également se faire remarquer s’il le désire, et sans difficulté. Caïus est une personne plutôt sadique pour qui la mort ne signifie rien, sinon un autre état. Et c’est sans remords ni arrière pensée qu’il tue, de sang froid ou non, pour le plaisir ou non. Caïus est une personne très fière qui n’accepte pas de se laisser marcher sur les pieds. Il déteste recevoir des ordres, mais sait écouter les autres. Cela dit, une partie de sa personne, plus impulsive, « bouillante » peut prendre le dessus à tout moment, ce qui n’est peut-être pas la meilleure chose…

Peur(s): Il a peur de l'échec, d'être faible, trop faible pou sa quête de pouvoir...

Force(s): Son côté fonceur, motivé, son instinct, sa volonté

Faiblesse(s): Il est impulsif et se croit au dessus de tout.

Information historique:

Histoire: other post
Relations/Famille: J'ai tué toute ma famille. Je n'ai pas de très bonnes relations avec leurs cendres... J'ai tué mon oncle la semaine dernière, un peu à sa demande... Mais faut dire que je serais venu le faire si j'avais oublié de régler ce détail. Lui je crois pas que j'aurais des problèmes avec ses cendres si j'avais eut letemps de l'incinérer...
Rêve(s): Le pouvoir absolu
Autre(s):

Information supplémentaire:

Avez-vous un autre compte sur le forum: [Nommez-les tous] Seth (VIVE LES MICHANTS!!!)
Par qui avez-vous connu le forum: Je déteste radoter
Comment trouvez-vous le forum: J'ai aucun commentaire à changer, regardez maprés de Seth si vous avez oublié
Autre: Approuvé par Écho

Aaaaaaahhhh, la bonne vieille image de Vincent Valentine, elle est toujours aussi cool!

Bienvenue, étranger!

Étranger? Je crois pas que t'aies envie d'avoir mes deux persos sur le dos... Alors surveille tes paroles...

S'il te plaît, moi je sais qui tu es, alors fait gaffe à ce que tu as à dire, car tu sais ce que je peux te t'empĉher d'avoir...

Comme je sais probeblement tu es qui j'approuve d'avance!

Wah, yen a des sous-entendus là-dedans... Mais c'est OK ou non pour le rôle, car je vais bientôt être bloquée à dire pouvoir faire parce que j'attend une réponse...

Ben oui, mais il y aussi Kellando qui m'avait envoyé un Mp pour ce rôle, mais vous allez être deux...

Bon, de un, j'aimerais bien que ceux qui ne sont pas concerné par cette présentation ne vienne pas poster.

De deux, j'aimerais que vous arretiez de flooder également

De trois, j'aimerais bien savoir quel est ce fameux role

et de quatre, bah j'ai rien d'autre a ajouté en fait... XDD

C'est celui de mon apprenti...

Question, ai-je droit à d'autres pouvoirs en plus de celui lié à ma race ou dois-je me contenter de mes muscles? ^^

Tu dois te contenter de tes muscles, desolé

Bon, l'histoire rentre pas dans l'autre post, alors je la mets ici. Et j'ai finit!



- FAITES-LE SORTIR!!, hurla la démone, les bras et les pieds attachés au lit pour l’empêcher de bouger.

L’enfant dans le ventre de la mère se démenait… comme un démon, à vrai dire. Il semblait dans un état de folie étrange. Il ruait le corps de sa mère de coups, comme s’il tentait de la tuer de l’intérieur. Quand enfin les accoucheuses réussirent à tirer l’enfant du ventre de la mère, cette dernière cessa de tirer sur ses liens, se sentant bien mieux maintenant qu’elle n’avait plus ce petit diable qui lui martelait l’intérieur de ses petits poings. Elle le savait déjà, ce petit serait un guerrier.

Plus loin, on avait emmené le bébé sur une table de pierre. On l’avait lavé avec de l’eau tiède. Ensuite, un démon prit le bébé et le plongea dans un bac d’eau chaude, presque bouillante. Le nouveau-né ne broncha pas. Le démon le retira de l’eau, puis le plongea dans un autre bac, mais d’eau glacée, celui-là. Le bébé ne pleura pas, ne cria pas, mais ses yeux s’injectèrent de sang, pour ne plus changer de couleur. Jamais. Malgré les quelques minutes à peine qu’il avait vécu jusqu’à date, il n’oublia pas. Et il comprit. C’était la loi du plus fort. Il lui fallait résister et devenir plus fort, chercher le pouvoir… Étonnant qu’un bébé se fasse cette réflexion. Peut-être est-ce plutôt une conclusion qu’il s’est fait par la suite. Quoi qu’il en soit, c’était ce en quoi il croyait.



On avait baptisé le bébé Caïus. Ce p’tit démon-là était très énergique. Dès qu’il avait pu se tenir sur ses deux jambes, il avait commencé à chercher querelle aux enfants de son âge. Il jouait à se battre avec des ennemis invisibles avec un bâton de bois. Les parents des autres enfants commençaient à se plaindre, à dire que le jeune Caïus était trop violent pour les jeunes de son âge. Même seul, Caïus, de son côté, apprenait. Il créait ses propres mouvements, comme il croyait qu’il fallait le faire. Mais ce n’était pas toujours très coordonné et bien, seul, sans guide. Un jour, Caïus, alors âgé de 4 ans à peine, entra dans la cuisine de la maison et tout, tout fier, à ses parents :

- Je vais être un guerrier!

Le père, heureux que son fils unique ait choisit, dès cet âge, de prendre cette voie, eut un sourire amusé, devant ce bout de chou qui affirmait ainsi son rêve. La mère, elle, se demandait bien comment elle pourrait contenir son fils et son enthousiasme. Elle savait ce qui allait suivre. Il voudrait entrer dans une école d’arts martiaux, apprendre à se battre, à utiliser une arme, bref, ce serait le carnage à la maison. Seul moyen d’éviter ça : refuser. Elle convainc donc avec quelques… arguments… persuasifs… son mari de l’appuyer, et Caïus se mit à les bouder, comme vous vous en doutiez.



Tout le monde commença à s’inquiéter quand Caïus s’isola de plus en plus pour s’entrainer avec son arme de bois dans la cour, sans parler à personne. Il ne voulait plus s’adresser à ses parents. Il ne voulait plus aller à l’école, même s’il n’avait que 8 ans, maintenant. Il n’avait pas adressé un seul mot à ses parents depuis 4 ans. La moitié de sa vie. Il ne voulait pas perdre de temps. Il ne faisait que s’entrainer. Il courait, faisait des exercices de musculation, essayait de se créer une méthode de combat en espionnant l’école d’art martiaux. Ce n’était pas facile, mais c’était sa raison de vivre. Être un guerrier amenait au pouvoir. Et le pouvoir était le but ultime. Il n’y avait ni bon ni méchant, ni bien ni mal, selon lui. Il n’y avait que le pouvoir. Et ceux qui sont trop faibles pour le rechercher. Ces quelques mots ont guidé ses pas.

Un jour, Caïus, qui commençait à être musclé, entra dans la pièce où son père rangeait ses armes. Il prit une épée entre ses mains, la caressa de ses petits doigts, fasciné. C’est alors que le propriétaire de l’objet entra dans la pièce, fâché.

- C’est mal de prendre les choses qui appartiennent à quelqu’un d’autre, mon fils.

- Il n’y a ni bien ni mal, père. Il n’y a que le pouvoir. Et ceux, comme toi, qui sont trop faibles pour le rechercher. En tant que ton unique enfant, cet objet est désormais à moi dès… maintenant!

Et, les yeux froids, Caïus enfonça l’objet dans le torse de son père, qui entrouvrit la bouche, d’où d’échappa un peu de sang. Le corps du démon fut secoué de plusieurs soubresauts, puis s’immobilisa et glissa de la lame, tombant à terre, sans vie, mort.

- Voici la première étape vers le pouvoir, père. Se débarrasser de ses chaines et de ses faiblesses, vous ne faisiez qu’empêcher ma progression, vous et mère. Adieu.

Alors qu’il terminait sa «conversation» en «tête à cadavre», sa mère, justement, entra dans la pièce, étonnée d’entendre la voix de son fils. Ses yeux se promenèrent du cadavre à son fils, de son fils au cadavre et vice-versa. Ses yeux étaient tout à fait rond, ses lèvres entrouvertes de stupeur.

-Caïus? Pourquoi?

- Pour le pouvoir. Adieu. Il est maintenant temps de rejoindre ton « amour ».

- NON!

Les yeux empreints de fureur, la démone se jeta sur son fils, qui esquiva et trancha la tête de sa mère, calme. Il prit une serviette, puis essuya la lame. Quand on découvrit le meurtre, Caïus inventa un coupable de toutes pièces. Qui croirait qu’un enfant avait tué de sang froid ses parents? Personne. Il se composa donc un air triste et apitoyé, aidé légèrement par son pouvoir qu’il utilisa sur lui-même. Ses parents furent incinérés et Caïus répandît leurs cendres.

- Voyez? Les forts, ceux qui ont le pouvoir, ils écrasent les faibles. Vous êtes bien mieux ainsi, libérés de votre faiblesse. Adieu.

Qui quitta la colline où il avait jeté les cendres de ses parents, allant retrouver son oncle, qui l’attendait en bas. C’était lui qui s’occuperait de Caïus, maintenant.

- Caesar, mon grand, viens. Il faut y aller, on n’a pas toute la journée devant nous, il faut t’entrainer, si tu veux être un guerrier, et qui sait, venger tes parents…

Venger… S’il savait… Mais au moins, il aurait droit à un vrai professeur, maintenant, car son oncle avait servit dans l’armée et avait été un guerrier d’élite.



- C’est très bien, Caesar, mon grand. Tu m’as eut. Tu as beaucoup progressé.

- Mon oncle, pourquoi m’appelez-vous toujours Caesar?

- Il s’agit du nom d’un conquérant, un de tes ancêtres.

- Vraiment? Et j’ai l’étoffe d’un conquérant? C’est pour ça que vous m’appelez ainsi?

Silence.

- À vrai bien, mon grand, c’est plutôt parce que tu es aussi obstiné que lui l’était. Tu es toujours à t’entrainer, jamais de pause. Tu as 20 ans et tu es plus musclé que moi qui en ai 241. C’est pas normal, ça!

Nouveau silence.

- Viens, Caesar, j’ai quelque chose pour toi.

Les deux démons rengainèrent leur épée respective et Caïus suivit son oncle, qui l’entraina à l’intérieur de la maison. Mystérieux, il lui dit de fermer les yeux. Caïus s’exécuta, se demandant bien ce que son oncle mijotait.

- Ouvre les yeux, maintenant.

Sur la table devant lui, il y avait une épée, semblable à celle qu’il avait déjà – celle avec laquelle il avait tué ses parents et dont il avait faire changer le manche pour y ajouter un serpent au bout. En diamant, évidement. Sur la table, l’épée semblait être la sœur de la sienne. Mais à la différence près que le petite sculpture au bout du manche était celle d’un créature qui lui était inconnue. Écailleuse, elle avait un gros corps, des ailes et de grosses pattes. Étrange créature.

- Qu’est-ce que c’est que cette créature, mon oncle?

- Un dragon, pour ce que j’en sais.

- Un dragon?

- Le monde ne se limite pas uniquement à ce que tu connais, Caesar. Bien des créatures différentes l’habitent. Certains peuples n’ont jamais entendu parler des démons.

- Je vois.

Silence.

- Pourquoi?

- J’ai reçu un message pour toi avec cet ornement. Un certain Caim, qui est devenu maître d’un terre appelée Irianeth se cherche un apprenti. Et il a entendu parler de toi.

- De moi? Comment ça?

- Champion du tournoi national d’arts martiaux junior à 13 ans, ce n’est pas rien, mon grand. Et tu es toujours sur la voie du combat, malgré un entrainement sommaire que j’ai pu te donner.

- Je vois.

- Si tu acceptes, un bateau viendra te chercher dans six mois.

- Pourquoi attendre tout ce temps?

- Pour que tu ne te défiles pas.

- Vous ne connaissez mieux que ça…

- Vous serez deux. Deux apprentis.

- Je connais l’autre?

- Son identité n’était pas indiquée…

- Très bien.

- Tu y iras?

- Oui.

- Bien.



Les six mois passèrent rapidement. Caïus ne vit pas le temps passer. Comme s’il était hors du temps. Arriva la date finale. Au crépuscule, on voyait un bateau approcher. Vers onze heure, l’oncle de Caïus arriva, solennel, vêtu de noir.

- Caesar, il est temps.

- Temps de quoi, mon oncle?

- D’instinct, tu as supprimé les premiers obstacles entre toi et le pouvoir. Tes attaches, tes points faibles. N’en laisse pas un derrière toi.

- Je vois. Comment sais-tu, pour mes parents?

- Je te connais.

- Alors adieu.

- Adieu Caesar.

Sans émotion, Caïus sortit l’une de ses épées, celle qui avait tué ses parents, puis perfora le cœur de son oncle. Il retira l’épée rapidement, la nettoyant déjà avec un linge qu’il gardait toujours sur lui, celui avait lequel il avait nettoyé le sang de l’épée, la première fois.

Au loin, il voyait le bateau qui l’emmènerait vers ce destin, vers cet empereur, ce Caim. L’autre apprenti prendrait-il lui aussi ce bateau? Ou un autre? Il ne voyait personne sur le quai… Il contempla la surface miroitante de l’eau, sans émotion. Le futur et son destin arrivaient. Perdu dans ses pensées, il murmura ces mots si familiers, sa devise :

- Il n’y a ni bien ni mal. Il n’y a que le pouvoir… Et ceux qui sont trop faibles pour le rechercher.

Bon, j'ai pas vraiment le moral a lire les pres... Donc tu peux jouer, mais si un admin te demande de changer quelque chose, tu devras le faire...